prospective et innovations induites sont les deux moteurs de notre réflexion architecturale pour le projet de la métropole. •
«Vivre nous tend entre l’un et l’autre : il dit à la fois l’élémentaire de notre condition – être en vie – et l’absolu de notre aspiration : “Vivre enfin!” Car que pourrions-nous désirer d’autre que vivre? (François Jullien 2016)
La diminution de la population par une baisse critique de la fertilité dans les années 2030 amènera à des normes drastiques sur les taux de COV dans l’air. Le coût des perturbateurs endocriniens et polluants dans l’air est estimé dès 2016 à 298 MM$ par an aux Etats Unis (baisse QI, infertilité, cancers, allergies…) et 150MM€ en Europe. A partir de 2030, le renforcement des normes amène à l’obsolescence prématurée des bâtiments intégrant des matériaux “classiques”, ou à des coûts de mise au norme drastiques.
• Le vieillissement de la population du à l’allongement de la durée de vie, se stabilise progressivement. Le plafonnement du niveau de vie lié à une limitation des coûts et investissements médicaux atteint un plafond vers 2030 Un constat du nombre de cancers (Pancréas, Thyroïde) plombant les investissements médicaux.
• La poursuite de l’évolution des formats de cellules familiales de structure de plus en plus diverses appelle de nouveaux support en architecture et une souplesse de la taille des logements.
• La technologie renforce la possibilité de réduction des interactions entre individus, et selon la nécessité, exprimée ou non, implique des lieux pour recréer le lien social
Atelier richard+schoeller
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